Calme plat mais pesant. ( Libre )

- Sur cette île, le temps est toujours magnifique. Maman, je suis désolée de te pas suivre ta voie, mais la bas, j'ai découvert mon destin, ma vraie passion. Je passerai à Tokyo dès que possible, et bonne chance pour tes réprésentations de ta tournée en Europe. Temi -

Tel était le SMS que Temi avait envoyé à sa mère via son portable qu'elle gardait toujours sur elle. La jeune fille avait décidé de prendre l'air dehors, en dehors du pensionnat dans lequel elle avait déja laissé écouler une année entière, une longue année pour elle. Elle n'est pas du tout du genre associable mais la demoiselle avait du mal a s'accrocher aux gens d'ici, même pas a ceux qui faisaient partis du même programme qu'elle. Deplus, les élèves ici étaient tous étranges, certain ne parlent pas, font peur, aussi bien physiquement ou caractériellement. D'autre sont trop bêtes, d'autre associables et méchants. Ou alors peut être que c'est plutôt Temi qui est exigente ?! C'est une possibilité à ne pas exclure bien sur ... Bref, la jeune bourgeoise, devant le batiment, debout à regarder le ciel se vidiait la tête et ne pensais à rien. On pouvait même la comparer, à cet instant même, à une statue, une belle statue ... La jeune brunette n'est pas de nature vantarde, enfin occasionnellement. Mais il faut bien l'avouer que Temi à un physique que beaucoup de filles envie. Les traits de son visage sont beaux et assez enfantin, enfin quand elle sourie. On peut aussi remarquer comment elle se porte, elle ne se laisse pas aller et ses gestes sont gracieux, tout comme sa façon de se tenir. Et ses vêtements, parlons en, pour une artiste, elle a une façon de s'habiller originale et très changeante. Aujourd'hui elle a opté pour une de ses nombreuses robes, sa préféré, le rouge, noire et blanche. De vastes manches noires, un col majestueux blanc, un décolté rouge et un bas de robe rouge et en damier, une vraie robe de princesse imposante. Sans oublier de coquettes ballerine rouges a rubans blancs et un diadème ornant ses cheveux lisses et bombés, bien coiffés. Une légère brise soufflait dans la coiffure de la miss artiste mais le temps restait cheud et humide. Ses bras étaient croisés, ses sourcils légèrement froncés, elle songeait à ce qu'elle pourrait faire cette après midi, en ce jour de repos. Elle passait son regard, scrutant toutes les parties du ciel possible, en espérent qu'un des nombreux nuages pourrait lui donner un indice sur sa journée. Les formes dans la ciel, semblables à du coton blanc ne lui donnait aucunes indications, alors elle ne voyais qu'une choses à faire, pendant qu'elle en avait l'occasion. Et pendant qu'elle en avait la clé. Alors les pieds de la jeune fille se mirent enfin à réagir et elle fit demi-tour et retourna à l'intérieur du penssionnat en franchissant cette porte imposante.

Tout en faisant preuve de sa gracieuse manière de macher, elle rejoignait la cour, sans jeter le moindre regard à tout les groupe de pensionnaires amis qu'elle pouvais croiser, dégoutée et envieuse en même temps. Elle qui n'avait eu qu'un seul vrai ami, celui qu'elle avait avant de cotoyer le pensionnat : Seiji Sawamura. Un blondinet qui manquait atrocement à son coeur mais dont elle garde des nouvelles. Tout les séparait étant enfants et pourtants ils étaient inséparables, elle bougeoise et lui petit garcon des rues. A cette pensée la fière Temi se retenut alors de verser une larme avec succes. Traversant la cour, elleeut le droit de nouveau à cette légère brise avant de rejoindre un autre batiment. Et ainsi, après un peu de marche, elle sorti une clé de ... quelque part .. x). Et elle l'enfonca dans la serure de cette porte qu'elle la porte de la salle des expositions. Par faute d'inatention, elle laissa la porte de la salle entreouverte alors qu'elle ne le devrait pas, ce qu'il se passe dans la pièce devait rester secret et seulement les élèves de la classe d'art avait la possibilité de se rendre dans cette pièce en ce moment grâce à la clé. La classe d'art avait donc en tête de faire un vernissage, une exposition avec les plus belles oeuvres et photographies que cette classe avait pu offrir durant l'année, toutesles plus belles choses se retrouvaient ici. Bien sur la plupart des murs étaient encore à remplir et les élèves se donnaient à fond cette semaine dans leur travail. D'ailleur une bonne partie desphotographe étaient partie travailler à leur art. Temi, elle et son don de dessin et peinture pouvait voir nombreuse oeuvres à elle affichés ici. Même des peinture du pensionnat sous plusieurs angles, les paysages de l'ile, les pensionnaires et tellement d'autres dessins et toiles ...

La jeune fille se dirigea vers une chaise toute blanche avant de s'y assoir. Cette vaste pièce était vraiment calme, un calme plat, mais ce silence commençait à l'agacer sérieusement, elle n'arrêtait pas de le subir ce silence. Ses yeux or était alors fixés sur des feuilles blanches et criterium qui étaient posés sur une table juste à coté d'elle. Serait-elle pour elle l'ocassion de dessiner des mangas comme elle aime le faire aussi ? Mais en même temps elle n'en voyait pas la peine, car depuis quelques jours, son inspiration était au plus bas pour une raison qu'elle méconnaissait ...

Alors qu'elle se promenait naturellement dans les grands couloirs du pensionnat, elle finit par voir une porte entrouverte. Touchée par sa curiosité un peu maladive pour le moment, elle se décida à glisser ses yeux dans la pièce. Elle fut surprise d'y voir une jeune fille. Juste en la regardant, elle sut qu'elle était une humaine, elle n,avait qu'à renifler un tantinet l'air autour d'elle pour s'en douter. Rentrant alors sans faire de bruit avec la même grâce qu'un félin, elle dit calmement à la fille devant elle:
"Bonjour !"

Ainsi, ce fut sur un ton fort aiguë qu'elle salua la jeune fille. Bien sûr, elle paraissait sans doute un peu plus vieille, qu'elle, mais elle s'en foutait. Elle la regarda des pieds à la tête. Elle vit la robe rouge avec le blanc et le noir. Elle eut un petit sourire. Elle ne l'avait jamais vue, ce qui n'était nullement étonnant puisqu'elle était une nouvelle. Posant alors sont regard sanglant droit dans les yeux de la fille, elle lui dit sur un ton amical:
"Je suis Syra et toi ?"
Inutile de lui dire son nom au complet, c'était beaucoup trop long à son avis.

Alors qu'elle portait tout ce qu'il y avait de plus banale, elle ne faisait pas attention au chef-d'oeuvre de la salle. Pourtant, elle ne put s'empêcher de jetter un petit coup d'oeil sur quelque peinture. Une chose était totalement sûre, elle n'était pas douée pour les arts et ne le deviendrait surment jamais.. Quoique, la danse était une autre histoire.. Retournant son attention en entier sur la fille devant elle, elle se demanda bien qui elle pouvait être..

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