Miharu Subaru

[Rpg]

{Informations}

Nom :

Prénom :
Age :
Date et Lieu de naissance :
Nationalité(s) :
Sexualité :

{Descriptions}

Description physique :



Description Psychologique :



Ce qu’il aime/ce qu’il déteste :


Son rêve :
Jusqu'où êtes-vous pret à aller pour le réaliser ?:
Classe souhaitée :
Année d'étude:

[HRPG]

Prénom/Surnom : Aidô xP
Age : 15 ans
Comment avez-vous connu le forum ? grâce à l'Admine
Une petite phrase sur ce que vous aimez/n’aimez pas :
J'aime le Design ♥_♥
Avez-vous absolument tout dit ? Ok by Ayame

Welcolme =D
Première !

Très très bon début de fiche. J'aime beaucoup comment tu décris tout ça.
[je crois même bien que Chuck Norris aurait lui même du mal à le faire]
x'D... BreF.
Bonne continuation à toi et bienvenue. +x+

Bienvenue^^

Bienvenue
[Alice > Oh tu lis les truc de Chuck Norris, le site web la ? XD]

Bienvenue !
Amuse toi bien !

Encore un garçon! Encore un garçon
[Devient folle ? Non elle l'est!]
Bienvenue parmis nous! Belle fiche x)
Amice toi bien ici!

WelcOme heree !

Merci beaucoup

Je posterai mon histoire demain ou après demain, selon la longueur

Bienvenue


cette fiche est trèèès longue... comparé à la mienne uu

Bienvenue !
Ta fiche est superbe : j'ai hâte de lire l'histoire

Sombre idiot, tu aurais pu me prévenir que c'était toi >> (Here is Ren x))
J'adore ton début de présentation, bonne chance pour la suite *-*
Bienvenuuuue x)

Yuu, sombre mar..."Shalow" *0* Sinon merci aux autres ^^ (et désolé pour la fin un peu bâclée xD)

« Le 13 Janvier
Bonjour.
On m’a demandé d’écrire une lettre en votre mémoire, alors je le fais. Vous savez, à Kharja, le tout petit village où nous étions installé, il y avait deux familles importantes parmi tant d’autres. La famille Miharu et les Rokujô étaient en querelle permanente pour être la plus puissante des familles du village. Il faut dire que le nombre d’habitant était très restreint, peut être n’y en avait il qu’une cinquantaine. Et je faisais partit des habitants assistant à la guerre que se menaient les deux familles. Nous en riions beaucoup, et les rumeurs à propos des deux foyers courraient bien plus vite que des furets ! Aussi un ragot circulait comme quoi la descendante des Rokujô, mariée depuis peu, était enceinte. Mon Dieu que nous étions heureux ! Nous avons dansé, chanté, fêté cette nouvelle durant toute une journée, allant même jusqu’à nous saouler. Ce fut vraiment une journée mémorable, envahit d’un bonheur collectif. Alors imaginez ce que fut notre joie lorsque le lendemain, nous apprîmes que la dernière des Miharu était elle aussi porteuse d’un enfant ! Nous fîmes de nouveau la fête, avec encore plus d’intensité que la veille, les deux nouvelles nous remplissant d’une joie certaine. Je me souviens encore des lumières frivoles dansant avec nous sous le rythme d’un vent léger, ou le bruit de la mer chantait pour nous une mélodie sauvage, forte et violente, ou les arbres s’agitaient de bonheur avec nous ! L’île était devenue vivante, et la fête perdura pendant près d’une semaine. Les mois qui suivirent ne firent que confirmer les rumeurs. Les deux dames avaient un bide de plus en plus gros, quoi qu’au sixième mois, Mme Rôkujô était plus gonflée que Mme Miharu. Je continuais ma petite vie de boulanger, toujours célibataire hélas ! Mais, durant cette époque, chaque personne venant m’acheter une baguette ou même un grand Fondu ou un petit Fendu restaient papoter avec moi sur lequel des deux enfants naîtrait en premier. Beaucoup étaient sûr que Mme Rokujô mettrait bat la première, et je n’ai pas fait exception à cette idée ! Aussi nous commençâmes à parier. Mon Dieu, certes n’etait-ce pas très aimable, mais le village entier s’agitait et devenait de plus en plus impatient ! Les paris fusaient, et moi même avais-je parié sur Mme Rokujô. Une bonne centaine de Pens, si mes souvenirs sont bons ! Chacun y misait une somme colossale ; Au village, lorsque nous manquions de sous, d’autres habitants nous prêtaient de l’argent, ou les commerçant offraient leur nourriture, c’était courant et devenu naturel pour nous, qui ne sortions jamais de l’île. Les vendeurs de poissons pêchaient eux même leurs poissons, les bouchers abattaient eux même leurs propres bêtes qu’ils élevaient dans les montagnes, les boulangers produisions nous même notre farine, ou bien nous l’ achetions à des gens qui en faisaient, dans les montagnes. Les poules appartenant aux fermiers produisaient les œufs, les femmes avaient chacune leur potager, nous vivions très bien, sans exportation ou importation comme le faisait l’Angleterre avec la France et le reste du monde. Une vie paisible, bien que fermée au reste du monde, ce qui n’était d’ailleurs peut être pas plus mal ! Et puis le jour que nous attendions tous vint ! Alors que je buvais une grande pinte au bar Pippo de mon chère Roger, que je salue par la même occasion, un homme maigrichons au teint très pâle et aux yeux presque exorbitées soulignés par des cernes très marqués est entré en furie dans le bistro en criant quelque chose comme « Ça y est, Mme Miharu est en train de donner naissance à son bébé ! ». Aussitôt nous nous levâmes tellement l’information nous choqua. Mais à peine Emile eut il le temps de poser une question au frêle homme qu’un autre homme fit irruption dans la bastringue, cette fois ci bien portant avec de joues bien rouge en disant d’une voix grave mais enjouée « Mme Rôkujô accouche ! ». Alors nous sortîmes en vitesse du bar et nous dirigeâmes sur la place centrale de l’île, ou d’un côté de la place l’appartement des Rôkujô avait sa place et, à l’opposé de cet appartement, celui des Miharu. Déjà beaucoup de monde était présent sur la place lorsque nous y sommes arrivé, mais encore on pouvait entendre la voix d’homme criant que les femmes mettaient bat. Alors tout le village était regroupé sur la place, anxieux et inquiets pour leur paris, les hommes discutaient et faisaient part de leurs arguments aux femmes qui, quant à elle, se demandaient de quelle couleur seraient les yeux et les cheveux des nouveaux nés. L’ambiance présente sur le village était plutôt tendue, à un tel point qu’au bout d’une heure le silence y régnait. Je ne sais plus combien de temps nous avons attendu, campés sur cette place à espérer gagner les paris, entendant à quelques moments des cris des deux femmes qui accouchaient. Nous avons fini par nous asseoir, jouer aux cartes pour détendre un peu l’atmosphère, Roger allant et revenant de son bistro pour nous ramener des Pintes. Il était le seul à oser s’éloigner de la sorte de cette place. Nous voulions tous voir quel bébé apparaitrait le premier au balcon. Le premier que je vis fut celui de Mme Miharu, un garçon encore plein de sang que tenait le père de l’enfant, qui était japonais, au dessus du balcon. Je pensais avoir perdu mon paris, mais lorsque je me retournai vers le balcon des Rôkujô, je ne pouvais que constater que le père de l’enfant tenait lui aussi sa fille dans ses mains, au dessus du balcon. Échec et mat. Tout le monde avait perdu, sauf le vieux Edward, le grand père de Mme R^kujô, qui avait parié que les deux enfants naîtraient en même temps. Il mourut peu de temps après et la cagnotte que tous les villageois lui avaient légué alla à sa descendance, la petite fille naissante, Elisabeth (c’est ainsi qu’il la nommèrent) Rôkujô. Ce fut certainement la plus belle période que l’île eut connue ou du moins, la plus vivante.
Regis-Robert, ex-français ayant prit la fuite à Kharja et y ayant habité de ses seize ans jusqu’à sa mort, lors de ses 72 ans, du Virus qui ravagea l’île. Cette lettre fut écrite lors de ses 51 ans. »

« Bonjour Becky ! Ou plutôt, bonsoir ! Alors, j’ai plein de choses à te raconter aujourd’hui ! Comme tu le sais, Kôshi et moi sommes allés à la plage, mais il ne faisait pas très beau ! Donc nous nous sommes retrouvés à 14 heures devant chez lui, puisque c’était sur le chemin. Nous avons beaucoup parlé des gros nuages qui approchaient, des notes que nous avons eu à l’université, et tout plein de trucs complètement nuls qui n’ont aucun intérêt ! Sur le chemin, nous avons croisé Brice et ses copains qui voulaient m’inviter au cinéma, mais bien entendu j’ai refusé puisque j’étais déjà avec Kôshi! Bon, nous nous sommes un peu disputé avec Brice mais il nous a finalement laissé passer tout en menaçant Kôshi... Donc nous sommes arrivés sur la plage et il m’a directement jeté à l’eau ! Nous sommes restés presque 2 heures dans l’océan, nous nous sommes vraiment bien amusé, je ne pensais pas que même adulte, nous puissions autant jouer comme des enfants.
« Je... je t’aime ! Je t’ai toujours aimé ! »
C’est ce qu’il m’a dit aujourd’hui, après que nous soyons sortit de la mer qui, pour un mois de Mars, n’est pas si froide que les gens le pensent ! C’était si romantique ! Les rouleaux de la mer nous fredonnaient un petit air dont l’océan est le seul à connaître le secret, et les nuages annonçant une pluie certaine nous couvraient de tous les regards. Il avait le regard qui brillait et des joues toutes rougies, qu’est ce qu’il était mignon ! Nous n’étions que tous les deux sur cette immense plage de sable doux. Mais... sur le moment, je n’ai pas su quoi lui répondre. Comme je m’en veux, Becky ! J’aurais dû lui dire que moi aussi, je l’aimais depuis le lycée, mais il a dit ça tellement... c’était tellement surprenant, je ne m’y attendais pas, du moins pas de cette façon ni dans cet endroit, alors je lui ai juste sourit et j’ai changé de sujet. Quelle idiote je fais ! Demain, je lui dirai que moi aussi je l’aime j’espère qu’il... »

Miharu entendit des bruit de pas brisant le silence de la maison. Une bande de lumière jaune apparut en dessous de la porte l’enfermant dans sa chambre. D’un mouvement vif et rapide, il cacha le livre qu’il tenait dans ses mains sous son oreiller et éteint sa lumière. A peine eut il le temps de faire mine de dormir que la porte s’ouvrit doucement. Le jeune homme, allongé sous sa couette et la tête dans son oreiller, ouvra un œil. Il vit alors sa mère se tenir dans l’ entrebâillement de la porte de bois, allumant la lumière de la chambre.

- Don’t you sleep yet ? [Tu ne dors pas encore ?]
- No, sorry. [Non, désolé]
- It’s Ok, don’t worry. [Ca va aller, ne t’inquiète pas]
- Thank’s. [Merci]
- Good night, Subaru. [Bonne nuit, Subaru]
- Yes, you too. [Merci, toi aussi]

Miharu attendit plusieurs minutes après que la femme soit partit avant d’allumer de nouveau la lumière de sa chambre et ressortir le livre qu’il avait caché un peu plus tôt. Il n’avait pas le temps de lire les détails si insignifiants dont il avait pris connaissance jusqu’à maintenant, il devait se concentrer sur le plus important, trouver la faille dans ce journal intime nommé « Becky ». Tournant les pages à vive allure, s’attardant de temps en temps sur une écriture encrée de noire, il feuilleta encore une bonne heure le livre avant de finalement trouver une page qui pourrait s’avérer intéressante.

« Becky. Voila presque trois ans que je te tiens, t’entretiens et que je m’obstine à te raconter ma vie dont tu dois certainement te foutre plus qu’une fourmi, si encore tu pouvais avoir des sentiments... Mais nous arrivons petit à petit à ta fin, et je ne sais pas si je te continuerai ensuite, peut être n’en aurais-je plus la force. Une semaine que je ne t’ai pas écrit, mais j’avais de bonnes raisons. J’étais malade, je n’arrétait pas d’avoir des nausées et ma tête me faisait souffrir. Mais maintenant je crois avoir compris. Je suis enceinte ! Je devrais certainement me réjouir, sauter de joie et vite aller l’annoncer à John... Oui je devrais mais pourtant... une boule dans ma gorge m’en empêche. Nos deux familles sont en guerre constante depuis plusieurs années maintenant, si ce n’est des décennies... Nos arrières grands parents se disputaient déjà l’île ! Je n’ai même pas encore prévenu mes parents, leur dire que leur premier petit enfant est issu de la famille Miharu revient à le condamner à mort avant même sa naissance. Je préviendrai John dans les prochains jours, lorsque mes nausées iront mieux... »
« Il m’a dit d’avorter... C’est tout ce que j’ai à te dire aujourd’hui Becky... Je vais y réfléchir... »
« Comment ai-je pu songer ne serait-ce qu’une seconde à avorter de mon enfant ? Il faudrait d’abord m’expatrier de l’île, et il tout bonnement hors de question que je tue un enfant qui n’a jamais vu le jour ! Je ne peux pas, c’est au dessus de mes forces. Kôshi ne veut pas reconnaître l’enfant, évidemment... La famille Miharu qui est d’origine Japonaise ne peut se « mélanger » avec des anglais. Comme à chaque génération, ils ont envoyé Kôshi au Japon pendant deux semaines. Il devra se trouver une épouse qu’il rapatrieront ici, à Karjha. Je trouve cette façon de faire grossière et honteuse ! Becky, je te fais une promesse, écrite noire sur blanche... enfin blanc jaunis puisque tes pages ne sont plus toute jeunes.... Je n’avorterai pas, que cela plaise à Kôshi où pas. Demain, j’irai demander conseil à Regis-Robert, le boulanger de l’île. Il est le seul à m’aimer comme un vrai père... »
« Comme prévu je suis allée voir Regis-Robert pour prendre conseil. Le seul conseil qu’il ait su me donné fut d’en parler à mes parents, chose que j’ai bien évidemment faite. En arrivant, je ne savais pas trop comment leur annoncé, alors nous avons parlé pas mal de temps avant que je me lance. Au début, ils m’ont regardé avec des yeux de merles en frit, puis ils m’ont demandé qui été le père et pourquoi il n’était pas là. Alors je n’ai pas répondu tout de suite et après un très long silence qui me parut durer une petite seconde, je leur répondis la vérité : John Miharu qui refusait de reconnaître l’enfant. IL y a eu un silence tendu, et moi qui m’était imaginé qu’ils m’égorgeraient vive, j’ai été très surprise lorsque ma mère s’est levée et ma prise dans ses bras. Elle m’a dit que ça devait arriver. Mon père l’a bien moins pris et est monté dans sa chambre... Je suis déjà soulagée de savoir que ma mère m’aidera à l’élever ».
« Becky, cela fait si longtemps que je ne t’ai plus écrit mes potins ! J’ai déjà accouché depuis une semaine, mais je suis atteinte d’une maladie contagieuse ayant contaminé la moitié de l’île. John emportera Subaru dans la soirée loin de l’île pour le protéger, puisqu’il est l’un des seuls à ne pas avoir été anéantit par la peste. Il ne s’est pas passé énormément de choses en ces sept mois où tu n’as eu de nouvelles de moi. Becky... Je t’écris pour la dernière fois. Tu te souviens pourquoi je t’ai nommé ainsi ? Parce que je trouvais que cher Journal était bien trop classique... Ce soir, John t’emportera avec Subaru pour que mon enfant puisse savoir que j’ai existé, et qu’il puisse prendre connaissance de ses ancêtres, dans l’arbre généalogique que j’ai dessiné aux premières pages. J’ai demandé à John de te finir, il ne reste que quelques pages à compléter, alors il écrira ce qu’il se passera ensuite. Je t’ai toujours considéré comme... »

Subaru soupira. Que cette femme pouvait être nu-nuche ! C’est vrai quoi, parler à un journal qui n’est qu’un objet, c’était inutile, absolument idiot et complètement décalé. Il tourna la page qui racontait le passé de Becky et les sentiments de Mme Rôkujô envers son journal qui lui faisait ses adieu. La page suivante était différente de toutes celles qu’il avait pu voir jusqu’à maintenant. L’écriture était beaucoup moins lisible et des tâches d’eaux troublaient certaines phrases devenues maintenant incompréhensible, d’autres tâches d’encre par-ci par-là et le tout à moitié déchiré ! Diable que John écrivait mal ! Rapprochant le cahier de son nez afin de mieux pouvoir lire, il commença sa lecture.

« Londres, 1991
Le gamin va bien, des personnes l’... ...... ........... ... .t je vais repartir au Japon, à Okinoshima et laisser le petit à ses personne qui nous hébergent pendant quelques jo.... Je veux qu’il prenne le nom de Subaru Miharu et qu’il sache...»
C’était tout ? Subaru tournait, retournait cette page, la suivante n’était plus présente dans le vieux cahier. Il restait seulement un morceau, tout petit morceau, en bas à gauche, d’un papier usé. La dernière page aurait-elle était déchirée ? Que devait-il savoir qu’il ne savait pas ?! Qu’est ce que son père voulait lui dire ?! S’énervant passablement, il jeta le livre sur le sol et se leva, faisant les cents pas dans sa chambre aux mille posters et au bordel inquiétant. Des jean’s jetés à la va-vite sur une chaise de bois dans un coin de la pièce, un ballon de basket se promenant dans la salle, et des tas de feuilles abîmés au sol... Des lettres de son père, qu’il lui avait envoyé durant toute son enfance et qu’il venait tout juste de connaître... 15 ans... 15 ans que ses « parents » lui cachaient ça... Donnant un coup dans son mur, il se laissa tomber sur son lit, ignorant la douleur de ses doigts. Dans quelques secondes ses tuteurs rappliqueraient en panique en lui demandant si tout allait bien... 4... 3... 2... 1...

-Are you Ok ?!
-No, I’m not Ok, no ! Why did you hide me that !?

D’un geste brute et simple, il pointa les feuilles éparpillées dans la chambre. Il était énervé, mais pourquoi, il ne le savait pas vraiment. Il s’était toujours douté d’avoir été adopté, ses traits métis lui avaient clairement dit. Alors pourquoi ? Pour les lettres ? Non... Elle ne racontaient que la vie de son père qui n’était pas très intéressante. Il s’était remarié, avait trois enfants et vivait toujours à Okinoshima, une île Oki au Nord du Japon qui ne semblait pas très vivante... Il avait toute sa vie travaillé durement pour pouvoir nourrir sa famille et envoyait tous les six mois soixante mille yens à Subaru, argent qu’il n’avait jamais touché... Il y avait quelques dessins de ses « beaux-frères » et des mots japonais de sa « belle-soeur » qu’il avait néanmoins pu analyser grâce à ses trois ans d’étude de la langue japonaise au collège, et quelques photos également, de ses grands oncles et grandes tantes, de sa belle mère et d’un tas de personnes dont il n’avait pas compris l’identité.
La dispute entre ses tuteurs et lui dura presque le restant de la nuit. Ils lui rapprochèrent d’abord d’être allé fouiller dans le grenier alors que l’accès lui était totalement interdit, et que toutes ces choses ne le concernaient pas, puis ils avaient pleuré et lui avait expliqué qu’ils ne voulaient pas le perturber dans ses études... Pleins d’excuses bidon que Subaru ne goba pas du tout, et ils finirent par pleurer en s’excusant... Le jeune Miharu s’était littéralement foutu de leur tête pour rester poli et les avait envoyé balader dans leur propre chambre. ET comme j’ai la flemme de détailler la suite de cette histoire palpitante (xD) et que j’ai envie d’être validé ben je vais résumer la suite !!! La bonne idée !

Pendant près d’un an, il enchaîna cours et petits boulots, laissant sa moyenne chuter et son porte feuille grossir ! L’ambiance de la maison était tout autre... Il se disputait bien plus avec ses « parents » et ne les voyait presque plus... Quant aux conversations qu’ils portaient ensemble... Rien de très passionnant, seul son petit frère, qui ne comprenait pas vraiment ce qu’il se passait, les empêchaient de se taper dessus *w* Jusqu’à ce qu’il est assez d’argent pour se payer un allé simple pour le Japon... Retrouver son père était dans ses propriétés ! Il lui avait d’ailleurs écrit pour lui annoncer son arrivée, et son père lui avait répondu qu’il préparait tout... Lui qui au départ ne voulait pas le reconnaitre, il était bien sympa ! Donc je vous épargne les retrouvailles hésitantes et les trucs bidules qui se sont passés durant l’année où il a enfin pu vivre dans sa « vraie » famille, du moins avec son vrai père. Il garda tout de même contact avec sa famille Londonienne par E-mail. Un an ou il perfectionna son japonais, où il apprit à connaitre son père qui lui raconta tous les détails de la vie « avant » la naissance de Subaru, qui se trouva d’ailleurs une passion, le basket, ou il était particulièrement doué. Enfin, son père l’envoya dans un pensionnat, par faute de moyen, ce que comprit parfaitement le jeune Miharu qui accepta avec joie. Ainsi, il se retrouva au pensionnat Awai Tsubasa...

Coucou *-*
Superbe histoire -superbe fiche d'ailleurs *-*
C'est bon je te valide. N'amuse toi bien parmis nous et bienvenue \(^o^)/ gnyap !

Rooh le fou... "Je résumerais pour pas écrire une centaine de lignes..." ... >> (Tu me raconteras, Lelex? xDD)

Bienvenue.... Argg... un YUU n°2

Ne le compare pas à moi, je t'en supplie >>
*Sort une pancarte: "Stop au flood "*