Nathan Sanchez (¯`·._Classe V.
Nombre de messages : 34 Age : 31 Date d'inscription : 26/08/2008
Feuille de personnage Sexualité~Age: Musicophile * * 103ans Relations: Chambre:
| Sujet: Nathan Sanchez Mar 26 Aoû - 18:51 | |
| [Rpg]
{Informations}
Nom :
Sanchez
Prénom :
Nathan
Age :
Il est né en 1905 et a logiquement 103ans en âge humain. Mais cela fait en gros (vampiriquement) 17ans ^^
Date et Lieu de naissance :
25 Décembre 1905 a Paris.
Nationalité(s) :
Française et Japonaise.
Sexualité :
Nathan était au départ quelqu'un d'asexuel. A dire que les relations n'étaient pas son fort, étant bien trop rêveur. Mais avec le temps, il changea. Préférant les hommes dût à un accident de son passé (la mort d'une personne chère) il se qualifie donc d'hmosexuelle. Mais son attirance envers la gente féminine peut à nouveau être réveillée. Mais bon, il n'aime pas tellement " coucher" Etant un vampire, il se laisse facilement aller à son instinct s'il en fait pas attention...
Description physique : Jeune homme au profil avantageux, Nathan est doté d'un visage singulier et emplit d'une multitude de traits je vous l'accorde. Teint de pêche et petit nez cerise, le beau vampire a tout des Dieux. Sa chevelure brune est aussi fine et douce que de la soie. Quelques mèches rebelles encadrent son visage diaphane aux traits de mélancolie. Ses iris d'un sombre pâle et profond intimide l'âme et la méprends dans des songe infinis... Un regard de rêve, un regard de pleure. Ses lèvres, aussi délicates que fraîche laissent entrevoir une odeur de fruits aux sentiments exotiques des contrées de l'orient. Un visage remplit de mœurs aussi en apothéose que la beauté du nom qualificatif qu'il porte. Nathan, en bon poids bon œil pèse dans les environs de 65kg. Est ce gros selon vous ? Jugerez-vous au rapport de nombres ? Sans doute que oui, à dire vrai, il suffit de le voir en vrai pour affirmer des propos en doutes. Mesurant dans les mètres 80, certains le considèrent comme petit. Bien grand mot pour si grand homme ? Que de question dans ce qui devrait être une aimable description. Sa pilosité, oui j'en suis sûr la gente féminine doit avoir de la curiosité à ce rapport, n'est que peu élevée. Je vous rassure demoiselles, ce n'est point là un castrat. L'aura que dégage ce charmant être est celle d'un poète adorateur des écrivains du 18eme siècle, des philosophes du 17eme. Que de chimère dans son regard lorsqu'il lit de si humble manuscrits. Aux allures dignes des créateurs de mode italiens, Nathan est rarement mal vêtu. Optant pour des pantalons amplement serrés et des chemisettes espagnoles, il incarne l'esprit de la romance en vêtements. Un seul et unique pendentif glisse le long de son cou, deux bagues à chaque doigts, dites en argent, l’agrémente d’une classe qu’il a déjà naturelle. Vous jugerez de votre propre chef de la classe qu'il peu avoir en votre vue. Je considère sa description physique suffisante à votre entendement.
Description Psychologique : La pluie, n'est ce pas ce qui pourrait représenter le mieux ce jeune homme aux aspects irréel ? Douce pluie qui tombe, douce lamentation, fraicheur de larme ou de vivre ? La pluie, c'est lui. Ses sourires éphémères et son visage morose se sied à l'eau grisée des nuages. On ne lui porterait aucune intention dans la rue, sans doute parce qu'il se fond dans les pensées comme l'eau dans la terre...C'est un être au tempérament rêveur, presque surréaliste. Il ne vit pas dans le même monde que nous, ne porte pas d'intérêts à la vie des autres ni même à la sienne. Ce n'est pas un égoïste, je vous interdirais de dire une chose pareille. Il ne vit que pour ce qu'il aime. Aussi libre que l'air, on ne peut l'avoir entre ses mains ni même le garder à jamais. Son intelligence imbibée de savoir humanistes et théoriques ne peut être qu'insurmontable à toute épreuves. Aussi insaisissable que l'air qui coule dans les feuilles, Nathan vis au jour le jour et en cueille l'instant présent. Carpe Diem ? Sans nul doute. Je ne serais moi même pas vous le décrire précisément. Il aime l'orage et les goutes d'eau qui ruissèlent sur la peau des humains. Il aime les livres et l'odeur d'une pièce ampli de sérénité. L'a t- on déjà vu s'emporter ? Non. La colère il ne l'exprime pas et l'enfouis en lui aussi bien que dans des sables mouvants. Ila beau être un vampire et en tout points de caractéristiques avec cette race, il n’en est pas moi quelqu’un d’attachant bien que révulsant de son étrangeté. Pardonnez-moi si je ne puis vous dire plus de détails sur sa personnalité hors du temps. Peut être auriez vous la chance de la découvrir plus amplement que moi même. Nathan est un penseur éveillé, un adorateur de la beauté et de l’abstrait. Ses défauts sont présents, bien que rarement visibles. Je vais vous le laisser à présent narrer son histoire...
Ce qu’il aime/ce qu’il déteste :
Nathan aime beaucoup de choses. Des choses souvent simples. Comme écouter du Jazz en faisant des contre-rendus, des devoirs. Il aime aussi faire la cuisine, sisi je vous l'assure ! C''est un peu un homme au foyer ( xD) Mais bon quand même pas. Son adoration de la musique et innée. Il ne vivrait que pour elle.... Il adore se baladr en forêt, manger, boire, dormir. Tout ce qu'il y'a de plus banale et pourtant lorsqu'il le fait, ce n'est aps...banale ! xD Il déteste peu de choses. Déjà la violence, il l'insupporte vite. Le macchismes, car pour lui tout le monde est égaux. Sinon je ne vois pas quoi dire d'autre ! *x*
Son rêve :
Il n'en a pas. Du moment qu'on le laisse vivre sa vie cela lui convient. QUoique au fond il espère renconter quelqu'un...enfin bon...
Jusqu'où êtes-vous pret à aller pour le réaliser ?:
Ahem, ne sais pas !
Classe souhaitée :
Classe V.
Année d'étude:
2ème.
Histoire : "Paris villes des lumières, tu me verras donc mourir..." La nuit m'enveloppait, comme une étrange sensation de voile sur mes yeux devenus humides. Des cris de plus en plus lointains, des larmes qui ne sont pas les miennes sur mes joues. Une douleur au cœur, une douleur au corps. Elles diminuent. Le froid est là, autour, les pavées humides m'encerclent en une prison que plus jamais je ne pourrais franchir. Une silhouette menue, accroupit au dessus de la mienne, déversant sa plainte lancinante sur mon corps presque inerte, froid. Elle cri, elle pleure. "S'il te plaît, ne meurs pas, pas encor, je t'en pris, reste, reste....tu verras, tu vas t'en sortir...tu verras…" Non Marie, je ne vois plus, je ne fais que t'écouter sans ouvrir ma bouche, suis je donc à ma fin ? 25 Décembre 1905, 00h25, je suis né dans le 13eme arrondissement de Paris, à l'église Saint-Loises en France. Ma mère, Louise, me choisit comme prénom Nathan en l'hommage de mon père, mort deux mois avant mon arrivée lors d’une expédition scientifique. Mon enfance ? Je ne l'estimerais pas vide et ennuyeuse. Ma mère, riche héritière d'une famille de lignée noble nous installa elle et moi dans le manoir ancestrale situé à Honfleur, en Normandie. Je fus scolarisé comme tout enfant normale dans une école primaire dès mes 6ans. En entendant primaire j’entends des cours particuliers dans un établissement spécial. Maman, et je le voyais clairement, souffrait jours et nuits de ce père dont je n'ai vu le visage qu'en peinture sur les meubles du grand hall. Je ne parvenais pas à lui dire des mots de consolations, sans doute n'avais je pas le vocabulaire pour. Quand on est qu'un enfant, on ne sait jamais vraiment trouver les mots pour parler aux grandes personnes. Je ne sais pas réellement pourquoi, dans mon école, je ne parvenais pas à me faire accepter au sein d'autres garçons ni même filles que je croisais de temps à autre. Leurs jeux c'était l’escrime ou les poupées de chiffons, le mien c'était écrire sur ce qui m'entourait, sur la poésie, la nature et la beauté. Seul, le mot qui me contemplait dans mes journées en cet établissement religieux privé. Ma mère, avide de protection envers ma pauvre personne ne supportait pas de me voir ainsi à l'écart et me changea de secteur pour les études à venir (= collège). C’était un établissement mixte, le seul de France peut être. Simplement par ce qu’ici les filles devaient apprendre à être des femmes d’intérieur parfaites. Cette fois ci, je me fis une amie, une seule. Ma meilleure amie. Elle se nommait Marie. C'était la personne la plus étrange que je n'ai jamais rencontré. Elle était différente, comme moi et se laissait à croire que les fées existaient et veillaient sur nous tout comme les anges. Nous avions nos jeux et nos secrets rien qu'à nous. Je puis grâce à elle m'introduire dans ce qu'on appelle la société urbaine. Jolie comme un cœur tous les regards de la gente masculine tournaient autour d'elle. Je ne voulais pas la partager, c'était ma Marie, mon ange, ma lumière et source de vie. Mais elle ne m’aimait pas de la même manière que moi. Dans mes années de lycée, je fus tout le temps avec elle, du moins, quand elle ne sortait pas faire des soirées mondaines avec les autres. Mon année de Terminale (dernière année d’étude de gentleman) nous fûmes séparés de classe. Elle eut des amours avec des Lords tout comme moi avec des Ladys. Mais je fus épris d’un jeune homme mélancolique, il m'aimait autant que je l’aimais. Ainsi je découvris que j’avais des penchant à l’italienne. J’étais donc un peu gay ? Pourtant, satisfait je ne l’étais pas, il me fallait Marie, ma douce libellule, ma tendre fée. Je laissai de côté mes autres touches pour l'avoir elle. Cependant elle n'aimait que les beaux sportifs musclés du genre têtes de plouc et les militaires asservit à un devoir qui me semblait passif et absurde. C'est ainsi que je m’enrôlai dans l'armée à mes 18ans. Je partis un an au japon, terre de mes racines que j’affectionnais particulièrement, pour une guerre qui m'était inconnu. Pour la première fois de mon existence, je me montrais utile aux yeux du monde. Lorsque Marie apprit ce que je fis, elle fut partagée dans un avis de peur de me voir mourir et de fierté que je sois allé combattre pour une cause juste que je n'avais pourtant pas prit la peine d'observer et de comprendre. Je ne revins plus en France les mois suivants. On m'envoya en tant que capitaine pour aider les Anglais en Russie et à regret, j’abandonnai le Japon ou je fis connaissance de mes grands parents paternels. Sans relâche, je me bâtis sans jamais savoir pourquoi je continuais. Marie, c'était sûrement cela ma raison. Me faire valoir à ses yeux. J'appris peu après mes 16ans le décès de ma mère dans un accident de voiture (= calèche) qui la conduisait au cimetière voir mon père. C'est à ce moment là que je désertai la patrie pour rentrer en France. Je restai à m'occuper des affaires de la famille, recevant toutes les semaines une lettre de menace de la troupe d'armée que j'avais au par avant dirigée. Je m'enfichais. Je ne voulais plus rien d'autre qu'elle, Marie. Son prénom me hantait, sa voix, son regard. Les mois passèrent et je restais au près d'elle la même chose idiote qu'avant, son frère, son meilleur ami. Le chagrin que me causa la perte de ma mère ne diminua pas et ne fit qu'augmenter nuits après nuits. Finalement, pour mon anniversaire, pour mon 17eme hiver, Marie m'invita chez elle. La soirée ne se passait qu'entre elle et moi. Elle m'offrit alors ce qui provoqua la perte de mon esprit dans un abysse de bonheur infinis. Son corps contre le mien, les draps nous protégeant. Sa peau si douce qui frôlait, touchait et brûlait la mienne. Je l’aimais, elle m'aimait. Elle me raccompagna à la porte quelques heures après, me laissant un dernier baiser sur la joue avant que je ne l'agrippe et l'emmène valser avec moi sur les pavées. Elle riait, un rire aux éclats de miel et de soleil. J'étais heureux, je l'étais...Des ombres, des voix roques, un coup de poignard, deux coups de poignard, trois, mes jambes me lâchèrent, la patrie que j'avais abandonnée repartit, sans doute vengeance apaisée mais inefficace... "NATHAN...parle moi !! PARLE...tu vas t'en sortir, je suis là, je t'aime, Nathan, ouvre les yeux,...Nathan..» J'étais là, au sol, mouillé, heureux de l'avoir connue, heureux à l’idée qu’elle parte. Sa main enveloppait ma joue, je voyais ma mère, je voyais mon père à ses côtés. Je voyais les champs de boue en Russie remplit de sang, je voyais les cerisiers du Japon. Je voyais son corps nu près du mien. Mon regard animé de flou allait l'oublier, plus de battements, plus d'ombres, mon souffle, je le retenais. "Au revoir Marie..." Mais cet au revoir fut mensonge. Car dès ma naissance, je fus nommé vampire. Par ce que ma mère en était une. Par ce que mon père l’avait été. Et ce, toute ma vie durant, je l’ai caché. Mais il fallait que Marie parte. Mais elle ne partait pas. Courant à sa vie un danger son nom. Restant sur mon corps voulut inanimé. Mon instinct me rongeait, me détruisait. Soudain ses lèvres se posèrent sur ma joue. - "Nathan, je t’aime tel que tu es, ainsi fais selon tes envies." Sans que je n’eusse rien dis, mes yeux brouillés de chagrin, elle prit le coutelas qui avait essayé de me tuer et l’enfonça dans son propre poitrail. Son sang dégoulina sur moi laissant libre cours à ma folie de monstre. - Pourquoi Marie…pourquoi…
[HRPG]
Prénom/Surnom : Prénom je ne l'apprécie pas...= Alexis TT. Surnom ahem..(le ridicule ne tue pas) Alexcite, Citron, Choupinet, Glandus, Schtroumpf g_g 18ans = =
Age :
Comment avez-vous connu le forum ?
Par hasard sur un topsite *u*
Une petite phrase sur ce que vous aimez/n’aimez pas :
J'aime beaucoup MAIS ALORS BEAUUUCOOOOOUUUPPPPPPPPPP les gimauves et les carambars *w*
Avez-vous absolument tout dit ?
Ok by Alice* | |
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Miharu Subaru (¯`·._ For a pessimist || I'm a pretty optimist
Nombre de messages : 93 Age : 31 Where are you ? : ♥ In your ass 8D ♠ Job : ♣ Annoy people ♦ I'm : • Tu oublies que je suis ton père... 8D #ZBAF# • Date d'inscription : 11/08/2008
Feuille de personnage Sexualité~Age: Qu'ils portent une jupe ou une cravate... Qu'est ce que ça change? ~ 17 ans Relations: Chambre: n°45 ... pourquoi, ça t'intéresse ? xP
| Sujet: Re: Nathan Sanchez Mar 26 Aoû - 19:51 | |
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| Sujet: Re: Nathan Sanchez Mar 26 Aoû - 19:59 | |
| Bouarf, j'viens d'finir de lire ta présentation, ton style d'écriture est fabuleusement remarquable *0* | |
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